La nanotechnologie intègre les secteurs de la recherche et de la production de particules extrêmement petites.
Le mot « nano » est d’origine grec et signifie le « nain ».
Un nanomètre représente un milliardième de mètre et un dix millième de l’épaisseur d’un cheveu qui représente déjà le secteur ultra fin des atomes et des molécules.
Sur cette longueur, environ quatre à six atomes peuvent être assemblés côte à côte. Les particules de l’échelle du nano sont les composants de cette technologie.
Par la construction ponctuelle de matériaux au niveau atomique ainsi que l’utilisation de phénomènes particuliers qui apparaissent dans cette petite échelle, une abondance énorme de nouvelles possibilités est ouverte, et ce, dans presque tous les secteurs comme les technologies environnementales et énergétiques, informatiques, médicales et pharmaceutiques.
Au niveau atomique, il n’y a plus de frontière entre la chimie, la physique et la biologie qui devient une technologie transversale qui donnera à beaucoup de branches le moyen d’aller plus loin dans le recherche.
Une structure nano représente pour l’homme l’équivalence de la taille d’un ballon de foot par rapport à la terre !
La recherche sur ce secteur est encouragée sous forme de projets entre instituts de recherche et entreprises publiques. Des pôles de compétitivités spéciaux, qui se différencient par leur spécialisation thématique, ont été mis en place.
Ces centres de compétences sont en collaboration entre les grandes entreprises, les établissements d’enseignement supérieur, les universités, les instituts de recherche et les chambres de commerce. Les entreprises de capital-risque participent également au financement des projets tout comme l’état.
